...ça crée des passe-temps futiles [PARTIE V]

Dernière fois que je me prête à l'exercice.

Vous me direz: OH! Mais comment vas-tu combler tes pauses matinales?!

Sur quoi je rétorquerai: JE N'AI PLUS DE PAUSES MATINALES. LIS MON BLOG ET TU COMPRENDRAS. NOOB.

Ensuite je vais surement vous frapper à coup de chiots.





VENDREDI = FINA(L)

lumbago
lyophiliser
luminaire
lymphe
lyrique
-------------
larynx
laxisme
lancinant
lapin
louvoiement
-------------
logement
lampe
lutrin
lutin (hihi!)
lys
------------
ligament
lamelle
ligne
lion
lustre
------------
libellé (haha merci Blogspot pour celui là)
lampion
lime
lien
lorgner


VOILÀ

C'est fait. Ma quête spirituelle est finie.

Maintenant, je retourne finir mon rapport... (KILL MEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE)

...vous informe.

Prenez gare! Margaret Trudeau veux vous arracher un œil.

Je vous aurai prévenus.

...ça crée des passe-temps futiles [PARTIE IV]

JEUDI = FIN(A)L

"A" comme dans ASTI QUE JE VAIS OUBLIER MA PEINE DEMAIN SOIR.


abeille
astringent
alimentation
animation
alcaloïde
-----------
atome
apôtre
assommer
astreindre
aphone
-----------
animal
ambition!
acquéreur
acyclique
acide
-----------
acétylsalicylique
accélération
acclimatation
alcalinité
aluminium
------------
asymptomatique
aspérité
applaudissement
acclamation
abstinence

Merci Sciences Nat, vous m'avez été utiles aujourd'hui

Par ailleurs, je mange un Cup-a-soup FTW

...ça déculpabilise

J'adore cet article de Cyberpresse.ca.

Des chefs de renom nous donnent les bons choix à faire à l'épicerie. Du genre la soupe Knorr qui est excellente, ou des cossins Choix du Président tout à fait acceptable.

J'ai même été surpris de savoir qu'une recette comfort food du chef Vézina, le macaroni au jus de tomates, est exactement la même que la mienne:

Macaroni
Jus de tomates
Beurre
Sel et poivre
Se mange sur le champs!

Allez, ne vous sentez-plus coupable de faire votre épicerie chez Maxi! Même les grands chefs le font!

...ça crée des passe-temps futiles [PARTIE III]

MERCREDI = FI(N)AL

nitroglycérine
nain
nanotechnologie
niais
nonne
------------- (PAS FACILE LE N...)
non
nature
néon
nolisé
nacelle
------------
narine
nez
néanmoins
notaire
notable
-----------
note
narguer
nager
net
nostalgie
------------
nécrophilie
nymphomanie
nasillard
nichon
niche


Pas tellement de mots du quotidien commençant par N. Je vous met au défi.

...ça fait dur

Regardez bien le titre en frontispice.

Je sais, c'est petit, mais c'est la seule preuve que j'ai trouvée. Quelque chose cloche?

Mais oui! Bien sur! Une faute de verbe à l'infinitif vs participe passé.

Oui. Ils ont osé.

Dans un journal, régional, ok. Gratuit, re-ok. Livré à la porte gratuitement, re-re-ok.

Mais qu'importe!

À quel niveau académique apprenons-nous cela?? Je vote pour première ou seconde année du primaire!

Ok, je vous l'accorde, je suis constamment à l'affût des fautes d'orthographes. (et moi aussi j'en fait, je ne suis pas Dieu, et pas besoin de me faire un commentaire pour me pointer les fautes que j'ai faites en dénonçant ce fait même) Mais tout de même, ce n'est pas charrié de demander à une équipe de rédaction, d'infographie et d'imprimerie de se rendre compte d'une telle faute.

C'est bien pour dire. Je n'ai même pas eu à lire le journal en question pour m'en rendre compte! Elle m'a crevé le coin de l'œil.

Je sortais tout bonnement de mon appartement quand je vis du coin de l'œil le journal en question gisant sur le palier. Étant pressé, je me foutus bien qu'il y eût un journal là. Mais, ma vision périphérique m'avait indiqué quelque chose qui clochait. Étant maintenant rendu à la sortie du bloc appartement, et toujours aussi pressé, je ne pus m'empêcher de rebrousser chemin et retourner en haut pour en avoir le cœur net.

Avais-je bien entrevu une faute de mordre/mordu?

Oui.

Du coin de l'œil...


Blague à part: apparemment quelqu'un a découvert le pot aux roses car la version en ligne du journal a la bonne orthographe. Malgré tout, on dirait vraiment que le titre a été repatché...

...ça crée des passe-temps futiles [PARTIE II]

MARDI = F(I)NAL

idée
inhibition
intolérance
isoloir
imagination
-------------
interruption
intelligence
incandescence
iridescent
incontinence
-------------
ignominie
inopportun
international
illumination
intransigeance
-------------
image
intensité
impulsion
influence
immobilisme
--------------
imbécile
ignare
innocent
indécent
ingénue

Voilà

...ça crée des passe-temps futiles [PARTIE I]

Finale, la grande finale. Vendredi. Ce jour espéré, convoité, miroité, anticipé, planifié. J'ai hâte.

«FINAL»
Un mot
5 lettres
La genèse d'un passe-temps
Partageant un lien mystique avec l'ordre du temps
5 lettres
5 jours ouvrables de la semaine
Tel un membre des Templiers
J'extirpe un mystère divin
Ce n'est surtout pas du constructivisme entaché de capitalisme
OH NON!
Ce mystère est réel
Véridique
INTEMPOREL
Depuis des temps immémoriaux
On a joué de ce jeu mystique
Ancrant l'esprit dans une spirale spirituelle
Et aujourd'hui
Je vous offre ce cadeau
Cette offrande à la race humaine dont j'ai pitié
Voilà

Le principe:

FINAL
5 lettres
5 jours avant la fin de mon stage
5*5=25

5 lettres
5 jours
25 mots commençant par cette lettre
les 25 premiers mots qui me viennent en tête

1 lettre par jour


LUNDI = (F)INAL

forniquer
finaliser
faucheuse
faux
fidèle
-----------
faucille
facile
falsifier
figue
fiducie
----------
fabuler
foin
farcir
forcer
fortuit
---------
flute
flux
forêt
fourchette
face
---------
fine
ficelle
fignoler
fac-similé
froid





Voilà, le spirale mystique est déclenchée, servez-vous, entrez dans la danse.

(OK JE DÉLIRE)

...se prépare pour la saison des rhumes

Alors là, je suis servi. Ça donne presque envie de se rendre malade.


Mis à l'essai depuis lundi, je vous les suggère fortement. Au menu:

• Odeur réconfortante de Vicks
• Texture graisseuse, mais apaisante, commune aux mouchoirs avec lotion

Malgré mon engouement, pensez que j'ai la santé de mes lecteurs à coeur. Alors avant de lécher toutes les surfaces bactériogènes des alentours, demandez-vous: «Est-ce que mon amour de l'odeur du Vicks en vaut vraiment la chandelle»?

...ça crée des besoins vitaux

Tâche à accomplir:

• Déterminer l'équipement nécessaire au branchement électrique de mon projet.

Contraintes:

• Ne rien connaître au sujet des normes électriques résidentielles
• Être contraint à utiliser un produit que je connais pas
  
• Avoir un mandat flou

Ce qui me tient en vie aujourd'hui:

• Bandeapart.fm
• Rockstar Roasted Coffee & Energy

...c'est un autre engagement que je ne tiendrai pas

Le titre de cette première publication résume bien mes intentions. Alors voilà, je me lance dans un travail de longue haleine sans ambition, sans motivation réelle sinon l'impulsion du moment, ou peut être encore le désir de me joindre à un certain mouvement social.

Or, toute tâche devrait normalement chercher à combler un besoin quelconque, nourrir un objectif. Non?

Voilà le discours d'une personne ambitieuse, fixant des objectifs à court, moyen et long termes, possédant un plan de parcours précis. Ces derniers servent à ancrer sa réalité, son instant présent dans un cadre logique et cohérent. Du pragmatisme à l'état pur, seulement teinté d'une touche d'idéalisme:

Objectifs->Moyens->But

Voilà le carburant des gens ambitieux. Un gage de réussite dans une société valorisant le leadership et la productivité.


Maintenant, comment la personne sans ambition s'en tire t-elle? Partant de ma définition d'une personne ambitieuse, l'in-ambitieux n'aurait donc aucun objectif précis. Résolument, et sans tomber dans une thèse existentialiste de bas étage, l'in-ambitieux n'aurait que peu de raisons de vivre. Or donc, considérons le cas d'une personne manquant d'ambition.

Sans penser que cette personne n'a aucune vision d'avenir, on pourrait plutôt affirmer que cette personne a de la difficulté à cerner précisément ces objectifs. Ou peut-être est-ce plutôt une incapacité à déterminer les moyens pour atteindre ses objectifs. Bref, un chaînon manque.

Objectif -> ??? -> But

Afin de clairifier cette thèse prenons un exemple concret: moi.

Dans mon cas, mon problème d'ambition semble s'échelonner sur deux plans.

1. Objectifs imprécis

Je n'ai pas d'objectif sinon être heureux. Un immense point de fuite vers un état de bonheur. Les moyens sont infinis. Mon avenir est tel un cône asymptotique pointant dans une direction floue, un état vague et subjectif, souvent imperceptible sinon a posteriori.

Mon seul espoir d’arriver à cet objectif est ma ferme conviction que ce cône est bel et bien asymptotique, qu’aucun dérapage ne parviendra à modifier mes conditions limites et bouleverser le modèle.

Dans un modèle asymptotique, c’est la convergence en un point. P(Bonheur) = 1.

Si les conditions limites sont bousculées, si le mur est brisé, le modèle diverge vers l’infini. P(Bonheur) = 0.

Peut-être est-ce simpliste de dualiser ainsi le portrait ? Probablement. Mathématiquement, à tout le moins, ça colle.

Or, devant la subjectivité qui nous est propre, un modèle intermédiaire serait, au pire, porteur d’espoir.

Imaginons donc ce même cône asymptotique mais divisons sa surface en quadrants. Chacune des pointes représentant un aspect de la réalité humaine : relations amicales, relations amoureuses, relations familiales, professionnelles, académiques, physiques, etc. et chacun des ces éléments offrant un pouvoir d’attraction proportionnel à sa proximité un peu à la manière d’un aimant. Plus on s’approche d’un quadrant plus le pouvoir d’attraction est fort mais bientôt l’asymptote approche. De peur de la dépasser, on se retourne et on regarde les possibilités, l’attraction des autres quadrants. On navigue à travers ces forces inconciliables sinon par soi-même et on essaie de garder le cap, de ne pas faire hors piste.

Voilà comment je perçois mes objectifs, sans direction claire mais toujours tendant vers un état agréable et désirable.


2. Manque de moyens

Voilà ce qui gâche le portrait dans ce modèle pour moi. Afin de garder le cap, on doit utiliser des moyens précis, prendre des décisions, évaluer les possibilités. En l’absence de cela, on se laisse aller au courant des forces externes et on agit en dernier recours quand on a le nez sur l’asymptote. Appelons cela de la conduite extrême. Cependant, je préfère définir ma conduite comme étant une série de dérapages contrôlés. Profitant au maximum de mon inertie et déployant toute l’énergie nécessaire au moment opportun.

Chacun choisit sa conduite, que ce soit la conduite du dimanche ou celle du code de la route, la conduite sportive ou la conduite de plaisance l’important c’est qu’on est tous sur l’autoroute de la vie (how cliché !)

Mais surtout, la conclusion serait que, quand je dérape, je me fous de ton code de la route, c’est MA sortie conard alors fous le camp.